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Mon histoire


Témoignage de Jennifer

Je ne corresponds sans doute pas à l’image que vous vous faites d’une survivante d’AVC. À peine 39 ans, adepte de la course, autoproclamée fanatique de la santé, j’étais en forme comme jamais de ma vie avant d’être victime d’un AVC. Je savais ce qu’était un AVC, je connaissais les facteurs de risque et les signes avant-coureurs – je n’aurais jamais cru que je serais un jour terrassée par un AVC. Mais le 24 juin 2012, un AVC a changé ma vie pour toujours. Il m’a laissée affaiblie, fatiguée et incapable d’utiliser mon bras gauche. On m'a immédiatement prescrit des médicaments pour éviter un second AVC, puis je suis retournée chez moi avec une liste de directives pour les soins de suivi, dont de la physiothérapie.

Quelques mois après l’AVC, j’ai commencé à avoir des spasmes musculaires et à ressentir de la raideur dans mon bras et mon coude gauches. Mon médecin de famille m’a suggéré de parler avec la physiothérapeute pour qu’elle ajoute quelques exercices d’étirement particuliers à mon programme; toutefois, malgré la physiothérapie, j’ai commencé à avoir plus de difficulté à redresser mon coude – et ensuite mes doigts. Je craignais de ne plus jamais être capable d’utiliser ma main. Ma physiothérapeute m’a donné le nom d’un médecin spécialisé en réadaptation post-AVC qu’elle connaissait et m’a renvoyée chez mon médecin de famille pour qu’il fasse une demande de consultation. Peu de temps après, j'ai reçu un diagnostic de spasticité de mon médecin spécialisé en réadaptation post-AVC. Je travaille maintenant avec un physiothérapeute qui se spécialise en réadaptation post-AVC et je reçois un traitement médical pour la spasticité. Je suis heureuse de dire que mon état s’améliore chaque jour.

J’ai dû faire des recherches et persévérer pour trouver des réponses qui m’ont enfin menée vers les bons spécialistes, capables de me prescrire le traitement qui me convenait, mais ces efforts auront valu la peine. Je peux enfin bouger mes doigts, pour la première fois en presque deux ans. Cela peut sembler banal pour quelqu’un qui n’a jamais subi un AVC, mais lorsque je serre la main de ma fille, je sais que je ne tiendrai plus jamais cette sensation pour acquise.

On dénombre plus de 62 000 AVC chaque année<sup>14</sup>

Trouver un médecin spécialisé en réadaptation post-AVC

Rappel : Pour prendre rendez-vous, vous devrez d'abord obtenir une demande de consultation de votre médecin de famille. Voir plus d’options de recherche